•  

    Il ne faut pas avoir peur...

     

    J'avais peur d'être seul, jusqu'à ce que...
    J'ai appris  à m'aimer moi-même.

     

    J'avais peur de l'échec, jusqu'à ce que...
    Je me suis rendu compte que j'échouais si je n'osais pas.

     

    J'avais peur que l'on me repousse, jusqu'à ce que...
    J'ai compris que je devais croire en moi-même.

     

    J'avais peur de la douleur, jusqu'à ce que...
    J'ai appris qu'elle était nécessaire pour grandir.

     

    J'avais peur de la vérité, jusqu'à ce que...
    J'ai découvert la laideur des mensonges.

     

    J'avais peur de la mort, jusqu'à ce que...
    J'ai appris qu'elle n'était pas une fin mais un commencement.

     

    J'avais peur de la haine, jusqu'à ce que...
    Je me suis rendu compte quelle n'était pas autre chose que de l'ignorance.

     

    J'avais peur de vieillir, jusqu'à ce que...
    J'ai compris que je gagnais en sagesse, jour après jour.

     

    J'avais peur du passé, jusqu'à ce que...
    J'ai compris qu'il ne pouvait plus me blesser.

     

    J'avais peur de l'obscurité, jusqu'à ce que...
    J'ai vu la beauté de la lumière d'une étoile

     

    J'avais peur du changement, jusqu'à ce que...
    J'ai vu que même le plus beau papillon devait passer par une métamorphose

     

    Que nos vies soient chaque jour plus riches, et si nous nous sentons défaillir...
    N'oublions pas qu'à la fin, il y a toujours quelque chose de plus.

     

    (Auteur inconnu) 

     

     

    Bonne journée....

    Joyeuse fête aux "Marcelle"....

     

    Citations du jour:

    "En mariage, souvent l'amour passe et le mari reste."

     

    "Un bon chef de famille, c'est celui qui se montre un peu sourd."

      

     


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  • KEES VAN DONGEN

     

    Peintre néerlandais ( 1877- 1968)

    Un maître du « fauvisme »

    Bonne découverte......

    Excellente journée dominicale....

    Joyeuse fête aux "Gildas"....

     

    Citation du jour:

    "Ne demandez jamais à une personne âgée si elle va bien, à moins que vous n'ayez rien de prévu ce jour-là !!!"

    (Joe Restivo)

    Pour sourire:

    - On parle de "trouvaille" pour découverte. Une idée, un objet trouvé est classé comme "trouvaille", mais il n'existe pas de "perdailles" quand il s'agit d'objets perdus.

    - Dans le cirque de la politique, l'ironie est la pirouette qui aide à sortir de la piste.

     


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  •  

     

    A une mendiante rousse

    Blanche fille aux cheveux roux,
    Dont la robe par ses trous
    Laisse voir la pauvreté
    Et la beauté,

    Pour moi, poète chétif,
    Ton jeune corps maladif,
    Plein de taches de rousseur,
    A sa douceur.

    Tu portes plus galamment
    Qu'une reine de roman
    Ses cothurnes de velours
    Tes sabots lourds.

    Au lieu d'un haillon trop court,
    Qu'un superbe habit de cour
    Traîne à plis bruyants et longs
    Sur tes talons ;

    En place de bas troués,
    Que pour les yeux des roués
    Sur ta jambe un poignard d'or
    Reluise encor ;

    Que des noeuds mal attachés
    Dévoilent pour nos péchés
    Tes deux beaux seins, radieux
    Comme des yeux ;

    Que pour te déshabiller
    Tes bras se fassent prier
    Et chassent à coups mutins
    Les doigts lutins,

    Perles de la plus belle eau,
    Sonnets de maître Belleau
    Par tes galants mis aux fers
    Sans cesse offerts,

    Valetaille de rimeurs
    Te dédiant leurs primeurs
    Et contemplant ton soulier
    Sous l'escalier,

    Maint page épris du hasard,
    Maint seigneur et maint Ronsard
    Épieraient pour le déduit
    Ton frais réduit !

    Tu compterais dans tes lits
    Plus de baisers que de lis
    Et rangerais sous tes lois
    Plus d'un Valois !

    - Cependant tu vas gueusant
    Quelque vieux débris gisant
    Au seuil de quelque Véfour
    De carrefour ;

    Tu vas lorgnant en dessous
    Des bijoux de vingt-neuf sous
    Dont je ne puis, oh ! pardon !
    Te faire don.

    Va donc ! sans autre ornement,
    Parfum, perles, diamant,
    Que ta maigre nudité,
    Ô ma beauté !

      

      

      

    A celle qui est trop gaie


    Ta tête, ton geste, ton air
    Sont beaux comme un beau paysage ;
    Le rire joue en ton visage
    Comme un vent frais dans un ciel clair.

    Le passant chagrin que tu frôles
    Est ébloui par la santé
    Qui jaillit comme une clarté
    De tes bras et de tes épaules.

    Les retentissantes couleurs
    Dont tu parsèmes tes toilettes
    Jettent dans l'esprit des poètes
    L'image d'un ballet de fleurs.

    Ces robes folles sont l'emblème
    De ton esprit bariolé ;
    Folle dont je suis affolé,
    Je te hais autant que je t'aime !

    Quelquefois dans un beau jardin
    Où je traînais mon atonie,
    J'ai senti, comme une ironie,
    Le soleil déchirer mon sein ;

    Et le printemps et la verdure
    Ont tant humilié mon coeur,

    Que j'ai puni sur une fleur
    L'insolence de la Nature.

    Ainsi je voudrais, une nuit,
    Quand l'heure des voluptés sonne,
    Vers les trésors de ta personne,
    Comme un lâche, ramper sans bruit,

    Pour châtier ta chair joyeuse,
    Pour meurtrir ton sein pardonné,
    Et faire à ton flanc étonné
    Une blessure large et creuse,

    Et, vertigineuse douceur !
    A travers ces lèvres nouvelles,
    Plus éclatantes et plus belles,
    T'infuser mon venin, ma soeur !

      

      

      

    A une passante

     

    La rue assourdissante autour de moi hurlait.
    Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
    Une femme passa, d'une main fastueuse
    Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

    Agile et noble, avec sa jambe de statue.
    Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
    Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
    La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

    Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté
    Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
    Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

    Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
    Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
    Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

      

      

    Bon week-end......



    Citation du jour:

      

    "Les hommes ne valent pas cher et les femmes ne sont pas bon marché."

    (Cauchy)


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  • Jean-Paul Bocaj est un artiste contemporain qui peint en couleurs vives des femmes pulpeuses. Qu’elles soient madones, mamans, aventurières , elles nous charment ; elles sont superbes et troublantes.

    Jean-Paul Bocaj vit et travaille dans le sud de la France.

     

    Il a peint ce paravent dit de « la dame de Saint-Clar »

     

    Vous pouvez retrouver d’autres œuvres de cet artiste sur le site :

    http://www.galeriebocaj.com/

     

    Bonne découverte....

      

    Citations du soir:

      

    "Quand je suis dans l'eau, j'ai des idées.

    Quand je suis sorti, je sèche."

    (Roger Pierre)

      

    "La vie est un oignon qu'on épluche en pleurant."

    (A.Masson)

      

      

      


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  •  

    LE MOMENT PRESENT

     

    Respirant, je calme mon corps. 

    Expirant, je souris. 

    Demeurant dans l'instant présent, 

    Je reconnais toute la merveille de cet instant. 

     Ce conseil est de Thich Nath Hanh et je le fais mien.

    Rien ne sert de retourner dans le passé car je ne peux le changer. 

    Rien ne sert d'anticiper le futur...  il ne m'est pas encore offert. 

    Je suis porteuse de ce que j'ai en mains... 

    ICI ET MAINTENANT! 

    Vais-je ouvrir ce cadeau offert? 

    Vais-je le poser sur la tablette? 

    Vais-je le repousser de peur de me faire surprendre? 

    AUJOURD'HUI 

    MAINTENANT 

    Je prends le temps de méditer 10 minutes. 

    Je me regarde aller et je me demande: 

    Quel rôle je joue? 

    Quel masque je porte? 

    Suis-je distance? 

    Suis-je gaieté ou perfection? 

    Suis-je victime ou sauveur? 

    Suis-je sourire et confiance? 

    Je prends le risque d'être moi-même... 

    Je prends le risque de l'authenticité 

    Je me montre vulnérable  

    C'est ainsi que je deviens LIBRE ET PUISSANT(e)... 

    Je laisse le lac de mon coeur accueillir les gouttes de la sérénité 

    Je le laisse tout simplement ACCUEILLIR 

    Les gouttes de l'instant présent! 

    Je remercie et je retrouve le sourire... 

    Je me dis qu'après la pluie vient le beau temps! 

    Je me dis que je suis riche de ce que j'ai appris! 

    Car la vie est ABONDANCE... 

     (Jovette Mimeault)

      

      


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