• Les dryades sont, dans la mythologie grecque, trois nymphes, des déesses mineures liées aux chênes en particulier, et aux arbres en général. Le nom de dryades fut plus tard utilisé pour désigner les figures divines présidant au culte des arbres et de la forêt. Elles sont généralement considérées comme des créatures très timides qui se montrent rarement, sauf à la déesse Artémis qui est réputée être l'amie de la plupart des nymphes.

      

     

    Les dryades sortaient d'un arbre appelé « Arbre des Hespérides ». Certaines d'entre elles allaient dans le Jardin des Hespérides pour protéger les pommes d'or que le jardin contenait. Les dryades ne sont pas immortelles, mais peuvent vivre très longtemps. Parmi les plus connues, on trouve notamment Eurydice, la femme d'Orphée. La tradition tardive fera la distinction entre les dryades et les hamadryades, ces dernières se voyant attachées spécifiquement à un arbre, alors que les premières erraient librement dans les forêts.

      

     

    Les dryades ont l'apparence de très belles jeunes filles et incarnent la force végétative des forêts dans lesquelles elles peuvent errer en liberté nuit et jour. Dépeintes comme les divinités mineures protectrices des forêts et des bois, elles étaient aussi fortes et robustes que fraîches et légères et formaient des chœurs de danse autour des chênes qui leur étaient consacrés. Elles pouvaient survivre aux arbres placés sous leur protection car contrairement aux hamadryades, elles n'étaient pas liées à un arbre en particulier.

      

     

    Ces nymphes étaient représentées dans l'art sous forme de femmes dont la partie inférieure du corps se terminait par une sorte d'arabesque dont les contours allongés figuraient un tronc et les racines d'un arbre. La partie supérieure du corps était nue et simplement ombragée par une chevelure abondante flottant sur les épaules de la nymphe, au gré des vents. La tête portait souvent une couronne en feuilles de chêne et elles tenaient parfois des branches d'arbres portant leurs feuilles et leurs fruits. En tant que gardiennes des forêts, les nymphes étaient parfois représentées avec une hache entre leurs mains, afin de punir ceux qui s'attaquaient aux arbres dont elles avaient la garde. D'autres représentations de dryades vêtues d'une étoffe vert foncé, avec des chaussures en écorce d'arbre, existent.

      

     

    Selon Édouard Brasey, les dryades appartiennent à la famille des dames blanches et sont généralement dépeintes comme étant douces et bienveillantes, elles aident ainsi les voyageurs perdus à retrouver leur chemin, donnent à manger aux bergers, jouent avec les enfants perdus dans les bois et s'occupaient des chevaux à l'écurie. Cependant, certaines d'entre elles sont réputées pousser les voyageurs au bord des précipices.

      

     

    (Texte et images du net) 

    Bonne lecture…

    Joyeuse fête aux « Sabine »…

     

    Pensée du soir :

    « L’homme sage ne dit pas tout ce qu’il pense, mais pense tout ce qu’il dit. »

     

    Les Dames blanches....

     

      


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  • Un beau texte...Une belle leçon de vie...

    L'âne au fond du puits
    ... Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.
    L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures,

    et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il
    a décidé que l'animal était vieux et le puits devait
    disparaître de toute façon, ce n'était pas rentable
    pour lui de récupérer l'âne.
    Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.
    Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à
    enterrer l'âne dans le puits.
    Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se
    mit à crier terriblement.
    Puis à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.
    Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement
    regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.
    Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui,
    l'âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se
    secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.
    Pendant que les voisins du fermier continuaient à
    pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus.
    Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du puits et se mit à trotter!'

    La vie va essayer de t'engloutir de toutes sortes d'ordures.
    Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.

    Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de progresser.
    Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n'arrêtant jamais.
    Il ne faut jamais abandonner!

    Secoue-toi et fonce!
    Rappelle-toi, les cinq règles simples ! À ne jamais oublier, surtout
    dans les moments les plus sombres.
    Pour être heureux / heureuse :

    -1. Libère ton cœur de la haine.
    -2. Libère ton esprit des inquiétudes.
    -3. Vis simplement..
    -4. Donne plus.

     

    Un beau texte...Une belle leçon de vie...

    Bon week-end...

     


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  • Début de semaine imagé....

     

    Début de semaine imagé....

     

    Début de semaine imagé....

     

    Belles images de Marta DAHLIG

     

    Début de semaine imagé....

     

    Début de semaine imagé....

     

    Bonne fin de journée...

    Joyeuse fête aux "Jean-Eudes".....

     

    Début de semaine imagé....

     

    Pensée du soir:

    "Il ne faut pas laisser croître l'herbe sur le chemin de l'amitié."

     

    Début de semaine imagé....

     

     

     

     


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  • Un jour, une équipe d'archéologues a découvert dans des ruines Maya, un crane constitué de cristal. Anna, celle qui l'a trouvé, a vu un grand scintillement lors de ses fouilles et a découvert le crâne. Par la suite, des analyses ont été faites pour voir si le crâne était bien antique, et si ce n'était pas un crâne construit par des appareils technologiques. Le résultat des analyses a été surprenant. Il semblerait que personne n'ai fabriqué ce crâne. Aucunes traces de fabrications, comme si cela avait toujours été comme ça. Le crâne à exactement les mêmes dimensions et proportions qu'un crâne humain, sauf qu'il est en cristal (ou quartz). Il aurait fallu un an en travaillant 24h sur 24 pour fabriquer un tel crâne dans du cristal sans aucunes traces de fabrication en 2000. Hors ce crâne a été trouvé en 1927 et il devait y être depuis de nombreuses années.

      

     

    La légende maya

    Il y a une légende maya et aztèque qui révèle la présence de treize crânes de cristal répandus à travers le monde, qui détiennent des pouvoirs de divination, de guérison et médiumnique. La prophétie maya indique que lorsque les treize crânes de cristal seront réunis, les secrets de la vie seront révélés à l'humanité, en 2012. Ces crânes contiendraient de grandes informations sur l'histoire des humains et des anciennes civilisations. Selon leur tradition, ces crânes leur ont été transmis par les Atlantes qui les tenaient des Initiateurs venus du ciel. Ce qui est frappant dans ces légendes c'est que les crânes seraient la mémoire des peuples des “12 autres mondes” ou planètes, et nous, la Terre, nous sommes considérés comme étant la dernière, la plus récente, “le monde des enfants” comme les mayas le disent dans leurs traditions orales, ces crânes contiendrait l'histoire et la sagesse de tout ces peuples de tous les temps. Selon les mayas, les crânes de cristal seraient d'antiques ordinateurs. Ils contiendraient d'importantes informations sur les origines de l'humanité et son destin. Et justement la mémoire de vos ordinateurs est stockée dans un matériau qui est du cristal... Une interprétation de la légende Maya nous indique qu’il faudra aligner les 13 crânes, le dernier jour du calendrier Maya, soit le 21 décembre 2012, pour aider Gaia à empêcher le basculement de la terre (dans la mythologie grecque, Gaïa est une divinité primordiale personnifiant la Terre).

      

     

    Une histoire bien mystérieuse entoure ces crânes de cristal, de provenance sud américaine qui daterait de la période préhispanique. Ils ont fait leur apparition à la fin du XIXe siècle sur les marchés européens parmi les amateurs d'antiquités et d’archéologie et furent rapidement entourés de beaucoup de spéculation. Ce sont des sculptures de pierre représentant des crânes humains. Leur taille est variable; certains mesurent quelques centimètres, d'autres sont à l'échelle. Un certain nombre d'entre eux sont en pur cristal de quartz, mais beaucoup sont faits de minéraux que l'on trouve en abondance sur la terre. La plupart seraient faux, mais certains de ces crânes sont encore considérés comme des authentiques.

     

    Ces crânes de cristal, qu’auraient possédé les peuples de l’Amérique du Sud, dateraient de plus de 5000 ans selon les légendes mayas. Ce qui est surprenant : il est techniquement impossible que de tels crânes aient été façonnés par ces tribus. Ces derniers ne possédaient pas les outils nécessaires à leur confection. Plusieurs des crânes découverts ont été taillés sans tenir compte de l'axe naturel du cristal. Les sculpteurs de cristal modernes prennent toujours en compte l'axe ou l'orientation de la symétrie moléculaire du cristal, car s'ils le taillent "contre le grain", celui-ci se brise.

     

    Bonne découverte…

    (Texte et images du net)

     

    Passez une bonne journée estivale….

     

     


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  • Il était une fois, un hibou. Comme chacun sait, ou ne le sait pas, le hibou est un grand timide. Il croit qu'il est laid - si laid que personne ne peut le regarder s’il lui arrive de croiser quelqu’un. Si laid, qu'il cause des accidents de la route. Si laid, que les bébés se mettent à hurler s'ils aperçoivent son visage. Pour toutes ces raisons, le hibou ne sort jamais pendant le jour. Il attend la nuit noire, lorsque personne ne peut le voir.

    Un soir, alors qu’il est dehors, le hibou rencontre une jeune fille. Ils se mettent à parler et elle l'invite dans sa maison. Il accepte et les voilà assis sous le porche pendant plusieurs heures à discuter. Le hibou dès le premier instant tombe amoureux de la fille et, ce qui tombe bien, elle aussi. Elle l'invite à revenir la nuit suivante et il revient. Ils s’asseyent sous le porche et parlent pendant des heures, presque jusqu'à l'aube. Par moment, ils se tiennent même la main. Nuit après nuit, le hibou revient rendre visite à sa belle et nuit après nuit il s’en va avant l'aube, si bien que la jeune femme ne peut vraiment pas savoir à quoi il ressemble.

    La jeune femme a des amis qui ont entendu parler de ce prétendant de la nuit et veulent savoir à quoi il ressemble car ils aiment beaucoup leur amie et sont heureux qu'elle ait enfin rencontré quelqu'un dont elle est tombée amoureuse.
    - Pourquoi le Hibou ne te rend-t-il jamais visite pendant le jour, lui demandent-ils ?
    - Parce qu’il travaille, répond la fille et lorsqu’il rentre chez lui, il doit faire son ménage, préparer son dîner et il ne peut venir qu’à la nuit tombée.
    - Nous voulons le rencontrer, ont dit ses amis. 
    - Bien sûr, il ne travaille pas le dimanche. Pourquoi n’organisez-vous pas une grande fête en son honneur ? Vous pourriez ainsi tous le rencontrer.

    La jeune fille est certaine que c’est la meilleure des idées et lorsque son amoureux vient le soir, elle l’invite pour le dimanche suivant. Une fête sera donnée en son honneur par ses amis. Le Hibou est pourtant vraiment très timide mais il accepte. Vous savez que quand on aime, on est capable de vaincre toutes ses peurs.

    Les jours passent. Le dimanche arrive. Le hibou est très nerveux. Il demande à son cousin le coq de l’accompagner car plus le temps passe, plus il a peur.

    En chemin, le hibou commence à regarder le coq et à se comparer à lui.
    Le coq est grand et bien habillé » pense-t-il en regardant les cheveux roux du coq, ses vêtements colorés et ses bottines jaunes. A côté de lui, je suis morne et terne, se dit-il encore en regardant ses vêtements bruns et en plus de tout, je suis laid. Plus ils se rapprochent de la maison, plus il a peur.

    Mon cousin le coq, dit soudain le Hibou, j'ai oublié quelque chose chez moi. Entrez donc sans moi et vous direz que j'ai dû rentrer à la maison mais que je serai de retour d’ici un moment. Le coq entre et fait le message du hibou.

    Un peu plus tard, dès qu’il fait très sombre, le hibou arrive à la fête. Il craint un peu que la fille et sa famille ne soient fâchés de son retard mais il se fait violence et avance d’un pas.

    Le coq qui l’attend sous le porche, le voit et semble tout à fait effrayé.

    - Hibou, demanda-t-il qu'est ce  donc cela sur votre tête ?
    - C'est un chapeau, répond le hibou. Beaucoup de gens portent des chapeaux.
    - C’est vrai, dit le coq, mais ils les portent sur la tête, et pas comme vous, tout autour de la tête.
    - Je me suis blessé aux yeux, dit le hibou, Ils ne supportent pas la lumière. Mon chapeau les protège.
    - Oui , réplique le coq et il protège aussi le reste de votre tête.
    - Ne vous moquez pas de mon chapeau mais dites-moi plutôt ce qu’on a dit de mon retard. Sont-ils en colère ? 
    - Ils le seront bien plus si vous n’entrez pas, dit le coq.
    - J'entre, j'entre, dit le hibou, mais promettez-moi d’abord une chose.
    - Quoi donc ?
    - Je dois être de retour à la maison avant le lever du soleil. Essayer donc de me prévenir à temps, plutôt que de chanter au lever du soleil, comme vous faites d'habitude ?
    Il ne faut surtout pas que la jeune femme voit son visage à la lumière du jour.
    - Bien sûr, hibou, bien sûr dit le coq et il le fait entrer à l’intérieur.

    A cet instant précis, la fête bat son plein. Les batteurs jouent et les chanteurs chantent et leur musique donne quelque chose dans le genre de « Dong-aada-dong-aada-dong-aada-dong, Dong-aada-dong-aada-aaii-ee-oooo! Dong-aada-dong-aada-dong-aada-dong, Dong-aada-dong-aada-aaii-ee-oooo! » «

    C’est justement la chanson préférée du hibou et quand il l'entend, il veut danser. Il va près de sa jeune amie, lui fait des excuses pour son retard et ils partent sur la piste de danse. Vous savez que le hibou est timide mais ce que vous ne savez pas c’est qu’il est un excellent danseur. Plus il danse, moins il sait où il est et moins il sait où il est et plus il danse. « Dong-aada- dong-aada-dong-aada-dong, Dong-aada-dong-aada-dong-aaii-ee-ooo! Dong-aada-dong-aada-dong-aada-dong. Dong-aada-dong-aada-aaii-eee-oooo! » ça dure ainsi toute la nuit.

    Le hibou s’amuse tellement qu'il oublie le temps et soudain, il entend son cousin le coq, qui complètement ivre, chante. Il a manqué l'aube et la lumière du jour entre dans la pièce. Le hibou affolé cherche une fenêtre. Il est certain que la fille en voyant son visage, comprendra combien il est laid. Il vole en tous sens. Son chapeau tombe sur le sol. Il vole de plus en plus vite et découvre une fenêtre ouverte par laquelle il s’enfuit. La jeune fille hurle « Hibou! Reviens!" Elle se précipite par la porte mais en vain. « Hibou! Reviens!" Le hibou ne l'a pas entendue.

    La jeune fille rentre chez elle. Elle aide à tout remettre en ordre. Personne ne sait que penser du comportement étrange du hibou. Le soir, elle s’assied sous le porche et attend. Elle espère qu'il reviendra, mais il ne revient pas. Chaque soir, elle attend et chaque soir, elle espère. Elle repense sans cesse à cette soirée, combien tout a été si agréable. Elle repense au hibou qui danse si bien et comment il l’a regardée. Elle revoit son visage presque rond, ses grands yeux et son petit nez. Elle se dit qu’il a un visage fort, un visage attirant. Elle a aimé ses yeux tout de suite mais elle ne sait pas que le hibou se croit laid.

    Elle l'attend des nuits, des jours, des semaines, des mois mais il ne revient pas. Pendant une année entière elle l'attend et puis un jour, elle rencontre quelqu'un d'autre et l'épouse. Mais chaque matin, lorsque le chant du coq la réveille aux premiers rayons du soleil, elle ne peut s’empêcher de penser au Hibou et se demande encore aujourd’hui pourquoi il s’est enfui en courant et où il est parti.

      

    (texte et images du net)

    Bonne lecture...

      

     

     

     

     


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