•  

    FEDERICO ANDREOTTI (1847-1930)

     

    Peintre italien né à Florence le 6 mars 1847.

    Bonne découverte.....

     


    15 commentaires
  • "Imaginez que chaque matin,
    une banque vous ouvre un compte de 86 400 euros.
    Simplement, il y a deux règles à respecter.

    Première règle :
    Tout ce que vous n'avez pas dépensé dans la journée
    vous est enlevé le soir.
    Vous ne pouvez pas tricher,
    Ne pouvez pas virer cet argent sur un autre compte,
    Ne pouvez que le dépenser.

     Mais chaque matin au réveil,
    La banque vous ouvre un nouveau compte,
    Avec à nouveau 86 400 euros pour la journée.

    Deuxième règle :
    La banque peut interrompre ce "jeu" sans préavis ;
    à n'importe quel moment elle peut vous dire que c'est fini,
    qu'elle ferme le compte et qu'il n'y en aura pas d'autre.

    Que feriez-vous ?

    Vous dépenseriez chaque euro à vous faire plaisir,
    et à offrir quantité de cadeaux aux gens que vous aimez.
    Vous feriez en sorte d'utiliser chaque euro
    pour apporter du bonheur dans votre vie
    et dans celle de ceux qui vous entourent, n ’est-ce pas ?

    Cette banque magique, nous l'avons tous, c'est le temps !

    Chaque matin, au réveil,
    nous sommes crédités de 86400 secondes de vie
    pour la journée, et lorsque nous nous endormons le soir,
    il n'y a pas de report.
    Ce qui n'a pas été vécu dans la journée

    est perdu, hier vient de passer.

    Chaque matin, cette magie recommence.
    Nous jouons avec cette règle incontournable :
    la banque peut fermer notre compte
    à n'importe quel moment, sans aucun préavis ;
    à tout moment, la vie peut s'arrêter.
    Alors que faisons-nous de nos 86 400 secondes quotidiennes ?

      

      

    La vie est courte, même pour ceux
    qui passent leur temps à la trouver longue …"

    alors profitez-en
    !

      

      


    7 commentaires
  •  

    ELLE

     

    J’ignore pourquoi, mais ce soir je me souviens bien d’elle. Je la revois telle qu’elle était, telle qu’elle ne s’est même jamais vue. Je revois son visage, sa fossette au menton et surtout ses yeux verts. C’étaient les yeux du bonheur, parsemés de petits éclats de différentes couleurs. Cet ovale parfait, ce front haut, lisse, l’arc de ses sourcils et ce cou gracieux.
    Je revois sa bouche quand elle souriait, dévoilant des dents blanches, festonnées, légèrement écartées ; les dents du bonheur. Je me souviens aussi de son corps qu’elle trouvait si laid.
    Elle le voulait plus mince. Pourtant qu’elle était belle, et quelle allure !
    Elle ne s’est jamais aimée et maintenant elle a disparu à jamais. Souvent je la cherche tout en sachant que jamais je ne la reverrai. Je l’attends au détour d’un miroir, je me penche mais ne la vois pas. Sa belle et longue chevelure brune a laissé place à une tignasse fatiguée de couleurs. Je ne vois qu’un visage émacié, des traits alourdis, un nez trop épaté. Pour avoir trop souvent subi les froncements de sourcils, le front ressemble à un champ labouré et la bouche est ridée pour avoir trop fumé. Dans un dernier espoir je cherche ses yeux, mais ils sont cachés derrière les lunettes. Très délicatement, je pose chacun de mes majeurs au bas de mes tempes et j’étire légèrement vers le haut. La magie opère, l’ovale se redessine, les bajoues disparaissent, le nez s’affine, la bouche se lisse et se remplit. Je suis prête à la retrouver mais il me manque toujours les yeux. Alors, toujours délicatement de peur de la perdre, j’enlève les lunettes. Le flou s’installe, envahissant le miroir et mon cœur.
    Jamais je ne la reverrai.

     

    (Christine Borie)

     

     

      


    12 commentaires
  • Je serai absente jusqu'au 27 février.

    Je pars à Briec de l'Odet, pour aider ma fille Véro à déménager, et profiter de mes petits-enfants Loëvan et Erell qui seront en vacances .

    Je ne vous oublierai pas . A bientôt !!!!

    Gros breizhous à tous.


    34 commentaires
  • "Comme le ver à soie, tu as tissé un cocon autour de toi. Qui peut te sauver ? Brise ton cocon et sors-en tel un magnifique papillon, telle une âme libre."
    Swami Vivekananda.

    Dans toutes les langues, le mot papillon n'a pas d'étymologie facile. En anglais, butterfly signifie 'mouche à beurre', mais les papillons ne sont pas des mouches à beurre, pas même le bread-and-butterfly de Lewis Carroll qui est une mouche-à-tartine-de-pain-beurré dans Alice à travers le miroir. Que papillon n'ait d'étymologie facile dans aucune langue est dû à ce qu'il est un animal magique depuis des temps ancestraux : il a pour cette raison reçu un nom magique.

    Le  papillon représente le symbole du bonheur conjugal. Il est aussi symbole de résurrection. En Chine et au Vietnam, il sert à exprimer un voeu de longévité. Parfois associé au chrysanthème, il signifie l'automne. Chez les Aztèques il est le symbole de l'âme ou du souffle vital. Du fait de sa couleur et de ses battements d'ailes, on l'associe aussi à la flamme. L'homme suit le cycle du papillon. En psychanalyse, il est symbole de renaissance. Dans l'antiquité romaine, l'âme quittant le corps prenait la forme d'un papillon ; Psyché est représentée sous forme d'une petite fille ailée, semblable à un papillon.

    " La force du papillon "

    Un jour, apparut un petit trou dans un cocon.
    Un homme qui passait par là s'arrêta de longues heures à observer le papillon qui s'efforçait de sortir par ce petit trou.
    Après un long moment, c'était comme si le papillon avait abandonné ; l'ouverture demeurait toujours aussi petite. On aurait dit que le papillon avait fait tout ce qu'il pouvait, et qu'il ne pouvait plus rien faire d'autre.
    Alors, l'homme décida d'aider le papillon ; il prit un canif et ouvrit délicatement le cocon.
    Le papillon sortit aussitôt. Mais son corps était maigre et engourdi, ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine.
    L'homme continua à observer, pensant que, d'un moment à l'autre, les ailes du papillon s'ouvriraient et seraient capables de supporter le poids de son corps, et qu'il prendrait son envol.
    Il n'en fut rien !
    Le papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais il ne put voler.

    Ce que l'homme, avec son geste de gentillesse et son intention d'aider, ne comprenait pas, c'est que le passage par l'ouverture étroite du cocon était l'effort nécessaire pour que le papillon puisse faire circuler le liquide de son corps vers ses ailes, de manière à pouvoir voler. C'était le moule à travers lequel la vie le faisait passer pour grandir et se développer.

      

     

     

    Parfois l'effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie.
    S'il nous était permis de vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles, nous serions limités.
    Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes.
    Nous ne pourrions jamais voler.

     

    ( merci à : http://lechemindubonheur.over-blog.com)


    MORALITE

     

    J'ai demandé la force, et la vie m'a donné les difficultés pour me rendre fort.

    J'ai demandé la sagesse, et la vie m'a donné des problèmes à résoudre.

    J'ai demandé la prospérité, et la vie m'a donné un cerveau et des muscles pour travailler.

    J'ai demandé de pouvoir voler, et la vie m'a donné des obstacles à surmonter.

    J'ai demandé l'amour, et la vie m'a donné des gens à aider dans leurs problèmes.

    J'ai demandé des faveurs, et la vie m'a donné des potentialités.

    Je n'ai rien reçu de ce que j'ai demandé, mais j'ai reçu tout ce dont j'avais besoin.

    Vis la vie sans peur, affronte tous les obstacles, et montre que tu peux les surmonter.

      

     

    (merci à : http://sylvielafee.over-blog.com)

      

      

    Bonne journée à batifoler avec les papillons.....

      


    10 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires